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Les catholiques demandent au Vatican de canoniser davantage de martyrs de l’Eglise de Chine

18 March 2010
A la suite de la canonisation, le 2 juin 1996, de St Jean-Gabriel Perboyre, lazariste français martyrisé en Chine en 1840, la conférence épiscopale de Taiwan a décidé de revitaliser sa commission pour la canonisation des bienheureux martyrs chinois. “La commission existe depuis trente ans, a déclaré, le 6 septembre, Mgr Joseph Wang Yu-jung, évêque de Taichung et président de la commission, nous ne faisons que nous remettre au travailIl a ajouté que le travail de la commission “consistera à faire en sorte que 123 bienheureux martyrs chinois puissent être canonisés rapidement


DOSSIER – LES ÉVÊQUES CATHOLIQUES DU JAPON ET LA SÉPARATION DE L’ETAT ET DE LA RELIGION AU JAPON


Dossiers et documents N° 6/2007EDA 465Juin 2007DossierDocument N° 6/2007     JAPON   POSITION DE L’EGLISE CATHOLIQUE DU JAPON AVANT, PENDANT ET APRÈS LA GUERRE   – Réflexion sur la directive de 1936 de la Sacrée Congrégation de la Propagation de la Foi : « Devoirs d’un chrétien envers la patrie » –   par Mgr Okada Takeo, […]


L’EGLISE DU JAPON: 444 ANS D’HISTOIRE


Ce dossier présente l’histoire de l’Eglise japonaise “en perspective optique”, c’est-à-dire en raccourcissant volontairement les périodes anciennes pour accorder plus d’importance à l’histoire contemporaine, comme dans un paysage où apparaissent en plus gros les plans les plus proches et en plus tassé les plans les plus éloignés.


LA THEOLOGIE CATHOLIQUE AU JAPON : APERCU, REFLEXIONS ET PERSPECTIVES


Bien que la théologie catholique n’ait pas encore produit au Japon des ouvres semblables à celles de la théologie protestante, comme celles de Kitamori Kazuo (Theology of the Pain of God), de Koyama Kosuke (Water Buffalo Theology) ou de Kuribayashi Teruo (Theology of the Crown of Thorns), elle a sa propre histoire, aussi modeste soit elle (1).


LA ‘CHRISTOLOGIE’ DU ROMANCIER JAPONAIS, SHUSAKU ENDO


C’est seulement après la traduction de son roman Silence en 1969 que le romancier japonais Shusaku Endo (1923-1996) a commencé à être connu en Occident. Nombre de ses nouvelles ou romans furent alors traduits ; certains, d’ailleurs des décennies après leur publication au Japon en japonais. Endo a été défini par les critiques littéraires de différentes façons : comme un maître du drame psychologique ; un moraliste sans moralité ; un auteur “dans la tradition littéraire religieuse” au côté d’autres célébrités comme Kierkegaard, Dostoïevski, François Mauriac ou Julien Green ; un “porte-parole facile d’accès entre l’Orient et l’Occident”.


UN NOUVEAU JAPON


Alors que politiciens et hommes d’affaires à l’ancienne mode’ luttent pour rattraper le temps, une nouvelle société émerge, mue non par un mouvement de masse mais par des individus


LA RENCONTRE DU MESSAGE DE JESUS ET DE LA CULTURE JAPONAISE


Réfléchir sur le message de Jésus d’un côté et la culture japonaise de l’autre n’est pas chose aisée en soi. Il est difficile d’exprimer le coeur du message parce que ses racines plongent dans l’Ancien Testament. Bien plus, il a été transmis à travers un long processus historique d’inculturation, à des peuples différents. L’histoire, processus toujours en marche, impose une empreinte indélébile à l’humanité tout en lui donnant les moyens d’appréhender la réalité. C’est pourquoi, le message s’exprime toujours dans des concepts et des termes issus de ce même processus historique.


Une troupe de théâtre amateur met en scène l’histoire des martyrs chrétiens d’Osako


Une troupe de théâtre amateur de la petite ville de Fujisawa, dans la préfecture d’Iwate (nord du Japon), a mis en scène l’histoire des martyrs chrétiens d’Osako sous le titre : “Une croix a disparu dans les bois La troupe et ceux qui la soutiennent ont expliqué qu’ils voulaient faire connaître les martyrs d’Iwate, au moment où l’Eglise catholique du Japon attend une décision de Rome concernant la béatification de 188 de ses martyrs (1).


Les évêques catholiques du Japon prennent clairement position en faveur d’un respect mutuel entre les peuples, contre la collusion entre le shintô, l’Etat et un militarisme renaissant


La Commission des Affaires sociales de la Conférence des évêques catholiques du Japon (CBCJ) a publié le 22 octobre dernier une brochure qui reprend et approfondit la question, déjà abordée par les évêques catholiques, des visites du Premier ministre au temple shintô de Yasukuni, consacré à la mémoire de tous les soldats japonais morts au combat, y compris de criminels de guerre de la seconde guerre mondiale (1).


Les évêques catholiques mettent en garde la société japonaise contre un retour aux erreurs passées du nationalisme d’Etat


La Commission des Affaires sociales de la Conférence des évêques catholiques du Japon (CBCJ), présidée par Mgr Takami Mitsuaki, archevêque de Nagasaki, a fait paraître, le 26 novembre dernier, le deuxième et le troisième fascicules annoncés en octobre dernier sur les problèmes importants auxquels fait face l’Eglise catholique du Japon. Ces deux derniers fascicules s’intitulent : “Examen du projet de réforme de la Constitution proposé par le Parti libéral démocrate » et “Politique nationale et persécutions”.