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PAYS DE MISSIONS
Un groupe en renaissance
Depuis quelques années, le groupe Thaïlande-Birmanie-Laos se réjouit d’un rajeunissement de ses effectifs. Nos confrères sont désormais répartis dans ces trois pays. La mission du groupe est donc en train de se réinventer. L’Eglise locale fait savoir qu’elle a des besoins.
En Thaïlande, des confrères parcourent les hauts plateaux Karens, où ils visitent des dizaines de communautés chrétiennes très dispersées et travaillent dans le domaine de l’éducation et du développement.
À Bangkok et au Laos, le besoin de formation est aussi un grand service à rendre.
En Birmanie, un engagement pastoral et de formation se dessine de la même manière dans les montagnes Chin et dans la région de Mandalay. Dans ces régions et dans d’autres, entre postes récurrents et nouveaux défis, une douzaine de volontaires apportent chaque année leur contribution.
Première évangélisation et création de paroisses
Le vicariat de Phnom Penh et la préfecture apostolique de Kompong Cham sont les derniers territoires d’Asie dont l’évangélisation a été confiée directement aux MEP par la Congrégation pour l’Evangélisation des Peuples. Du fait de sa spécificité – la grande majorité des 20 000 catholiques du pays sont d’origine vietnamienne – l’Église cambodgienne est aussi bien un lieu de première annonce (auprès des Khmers), qu’un lieu de nouvelle évangélisation (auprès des Vietnamiens).
Les défis pour l’unité de l’Eglise sont nombreux, notamment pour l’unité des chrétiens d’origine khmère et ceux d’origine vietnamienne, meurtris par les blessures provenant de l’histoire de ces deux pays voisins. Non moins importants sont les défis liés à l’immense travail de traduction et de production documentaire dans les domaines biblique, patristique, liturgique, magistériel et spirituel…
Les confrères du groupe sont investis dans tous ces défis de diverses manières, accompagnant la croissance de cette très jeune Église, dont l’objectif hautement prioritaire reste certainement celui de la mission en ses débuts : la formation d’un clergé diocésain et la promotion d’un noyau chrétien dynamique, afin que l’Église au Cambodge puisse atteindre sa maturité et prendre en mains son propre destin.
Vivre ensemble, former, accompagner, prier
Les confrères du groupe missionnaire de Chine travaillent en divers lieux, la plupart dans le diocèse de Hong-Kong. Ils travaillent dans les différents champs de la pastorale paroissiale et diocésaine : la célébration des sacrements, la formation des jeunes, en particulier dans le cadre des nombreuses écoles catholiques de Hong Kong, le suivi du catéchuménat, qui touche des publics variés, avec de nombreux baptêmes d’adultes chaque année, l’accompagnement des personnes âgées, ministère de plus en plus important face au vieillissement de la population, les visites des hôpitaux, la formation et l’accompagnement des petites communautés de foi, le travail de recherche historique et théologique, la formation des prêtres, des religieuses et des laïcs, l’enseignement, etc.
Quelques confrères qui exercent leur ministère en mandarin résident et travaillent habituellement à Taipei. Les liens d’amitié avec les diocèses autrefois confiés aux MEP s’approfondissent par des visites et se concrétisent par des soutiens variés.
Une présence dans l’église locale
Certains prêtres MEP sont engagés dans l’accompagnement des équipes du Mouvement des Travailleurs Catholiques (ACO) et des communautés religieuses, etc. Le groupe semble particulièrement attentif au service des pauvres dans une Église plutôt riche et c’est ici une piste pour de nouveaux envois comme aussi dans le dialogue interreligieux.
Les prêtres retraités y poursuivent une présence de témoignage ou d’activité missionnaire, appréciée dans les paroisses ou dans les œuvres auprès des enfants, des pauvres, des milieux ouvriers, carcéraux et hospitaliers.
Présence et dialogue
Le groupe MEP compte trois confrères MEP en Inde.
Lucien Legrand professeur d’écritures saintes au séminaire Saint-Pierre de Bangalore depuis plus de 63 ans.
Yann Vagneux réside en priorité à Bénarès (Varanasi). Il fait du ministère de dialogue interreligieux en milieu hindou et musulman.
Laurent Bissara vit à Kolkata (Bengale occidental) parmi les populations défavorisées. Il y dirige une ONG qui gère plusieurs centres à Kolkata et aussi à Jalpaiguri. Ces centres accueillent des enfants, garçons et filles, pour les élever, les éduquer et leur donner une chance dans la vie. La plupart sont des enfants sans véritable soutien familial.
Le groupe MEP Inde travaillait dans le sud de l’Inde depuis 1775. Il s’est déplacé vers le nord de l’Inde où, dans l’avenir, les nouveaux Pères MEP iront les rejoindre.
Le laboratoire de la mondialisation
Le groupe missionnaire de Malaisie-Singapour n’a aujourd’hui plus de confrères à plein temps en Malaisie étant donné le non renouvellement de la présence MEP en ce pays où le visa est difficile à obtenir.
À Singapour, les confrères demeurent sur place et participent à la vie de l’Église, s’investissant dans l’accompagnement des groupes et des personnes, la pastorale des mariages, le suivi des minorités, la visite des prisons, le dialogue interreligieux et la vie paroissiale.
Un confrère s’occupe de la communauté vietnamienne. Les paroisses de Singapour sont dynamiques et missionnaires. C’est depuis Singapour que sont suivis les volontaires en Malaisie et en Indonésie.
Au service de l’Église locale et des pauvres
La plupart des prêtres de la mission japonaise ont un ministère paroissial. Leur rapport souligne la difficulté d’y être missionnaire en dehors du cercle des communautés paroissiales et pose la question de savoir comment faire de ces communautés des communautés missionnaires.
Trois confrères sont au service des pauvres, ayant mis en place, avec des partenaires locaux, des centres sociaux ou des lieux d’accueil pour les personnes en difficulté (alcooliques, toxicomanes, ex-détenus, SDF, handicapés, migrants en détresse…).
Un groupe en renaissance
Depuis quelques années, le groupe Thaïlande-Birmanie-Laos se réjouit d’un rajeunissement de ses effectifs. Nos confrères sont désormais répartis dans ces trois pays. La mission du groupe est donc en train de se réinventer. L’Eglise locale fait savoir qu’elle a des besoins.
En Thaïlande, des confrères parcourent les hauts plateaux Karens, où ils visitent des dizaines de communautés chrétiennes très dispersées et travaillent dans le domaine de l’éducation et du développement.
À Bangkok et au Laos, le besoin de formation est aussi un grand service à rendre.
En Birmanie, un engagement pastoral et de formation se dessine de la même manière dans les montagnes Chin et dans la région de Mandalay. Dans ces régions et dans d’autres, entre postes récurrents et nouveaux défis, une douzaine de volontaires apportent chaque année leur contribution.
Bâtir l’église
L’engagement auprès des chinois de Madagascar avait motivé l’arrivée de prêtres MEP dans les années 1950. Puis, dans les années 1970, le groupe s’est davantage tourné vers la population malgache. Aujourd’hui, les MEP répondent aux besoins des diocèses, notamment en ce qui concerne la création de nouvelles paroisses et l’administration diocésaine : Mgr Georges Varkey, MEP, est l’évêque de Port Bergé, d’autres confrères sont économes diocésains.
Dans ce pays, les prêtres travaillent particulièrement à la fondation de paroisses, à leur croissance, ainsi qu’à la construction d’églises et d’écoles. Pour se faire, ils se rendent même dans des régions inaccessibles aux véhicules, ce qui implique pour certains de faire des tournées de plusieurs jours à pied.
Les missions comprennent généralement des églises, des écoles et des dispensaires.
L’un des prêtres est économe et professeur dans un petit séminaire.
A la demande de son évêque, Jean-Yves Lhomme, a participé à la construction d’un hôpital qui a pour vocation d’être un hôpital de qualité et un hôpital pour les démunis.
Entre 10 et 18 volontaires viennent à Madagascar chaque année pour enseigner le français dans des écoles ou des centres de formation, ou comme aide économe ou pour suivre des chantiers.
Quatre confrères du groupe missionnaire de l’océan Indien sont à l’île Maurice comme curé et vicaire en paroisse. Chaque prêtre MEP travaille dans un diocèse où selon ses compétences il prend des responsabilités pour répondre aux besoins de l’Église locale en lien avec les prêtres du diocèse.
Le laboratoire de la mondialisation
Le groupe missionnaire de Malaisie-Singapour n’a aujourd’hui plus de confrères à plein temps en Malaisie étant donné le non renouvellement de la présence MEP en ce pays où le visa est difficile à obtenir.
À Singapour, les confrères demeurent sur place et participent à la vie de l’Église, s’investissant dans l’accompagnement des groupes et des personnes, la pastorale des mariages, le suivi des minorités, la visite des prisons, le dialogue interreligieux et la vie paroissiale.
Un confrère s’occupe de la communauté vietnamienne. Les paroisses de Singapour sont dynamiques et missionnaires. C’est depuis Singapour que sont suivis les volontaires en Malaisie et en Indonésie.
Bâtir l’église
L’engagement auprès des chinois de Madagascar avait motivé l’arrivée de prêtres MEP dans les années 1950. Puis, dans les années 1970, le groupe s’est davantage tourné vers la population malgache. Aujourd’hui, les MEP répondent aux besoins des diocèses, notamment en ce qui concerne la création de nouvelles paroisses et l’administration diocésaine : Mgr Georges Varkey, MEP, est l’évêque de Port Bergé, d’autres confrères sont économes diocésains.
Dans ce pays, les prêtres travaillent particulièrement à la fondation de paroisses, à leur croissance, ainsi qu’à la construction d’églises et d’écoles. Pour se faire, ils se rendent même dans des régions inaccessibles aux véhicules, ce qui implique pour certains de faire des tournées de plusieurs jours à pied. Les missions comprennent généralement des églises, des écoles et des dispensaires.
L’un des prêtres est économe et professeur dans un petit séminaire.
A la demande de son évêque, Jean-Yves Lhomme, a participé à la construction d’un hôpital qui a pour vocation d’être un hôpital de qualité et un hôpital pour les démunis.
Entre 10 et 18 volontaires viennent à Madagascar chaque année pour enseigner le français dans des écoles ou des centres de formation, ou comme aide économe ou pour suivre des chantiers.
Quatre confrères du groupe missionnaire de l’océan Indien sont à l’île Maurice comme curé et vicaire en paroisse. Chaque prêtre MEP travaille dans un diocèse où selon ses compétences il prend des responsabilités pour répondre aux besoins de l’Église locale en lien avec les prêtres du diocèse.
Laboratoire de la globalisation
Le groupe missionnaire de Malaisie-Singapour n’a aujourd’hui plus de confrères à plein temps en Malaisie étant donné le non renouvellement de la présence MEP en ce pays où le visa est difficile à obtenir. À Singapour, les confrères demeurent sur place et participent à la vie de l’Église, s’investissant dans l’accompagnement des groupes et des personnes, la pastorale des mariages, le suivi des minorités, la visite des prisons, le dialogue interreligieux et la vie paroissiale. Un confrère s’occupe de la communauté vietnamienne. Les paroisses de Singapour sont dynamiques et missionnaires. C’est depuis Singapour que sont suivis les volontaires en Malaisie et en Indonésie.
Minorités aborigènes, travail social et ouverture aux Hans
Les confrères ont répondu aux appels de la mission et se retrouvent répartis dans trois diocèses de Taïwan : Taoyuan, Hualien et Yuli. La mission requiert parfois, en plus de la maîtrise du mandarin, l’apprentissage du taïwanais et des langues aborigènes selon les lieux où nos confrères sont engagés.
Certains sont appelés à travailler avec les handicapés, les migrants (philippins, indonésiens et vietnamiens) ou les étudiants. Certains prêtres de Taïwan se sont tournés vers les Chinois (Han), travaillant à la fois sur le continent et sur l’île de Taïwan. Le groupe missionnaire de Taïwan poursuit cette ouverture aux Han.
Un groupe en renaissance
Depuis quelques années, le groupe Thaïlande-Birmanie-Laos se réjouit d’un rajeunissement de ses effectifs. Nos confrères sont désormais répartis dans ces trois pays. La mission du groupe est donc en train de se réinventer. L’Eglise locale fait savoir qu’elle a des besoins.
En Thaïlande, des confrères parcourent les hauts plateaux Karens, où ils visitent des dizaines de communautés chrétiennes très dispersées et travaillent dans le domaine de l’éducation et du développement.
À Bangkok et au Laos, le besoin de formation est aussi un grand service à rendre.
En Birmanie, un engagement pastoral et de formation se dessine de la même manière dans les montagnes Chin et dans la région de Mandalay. Dans ces régions et dans d’autres, entre postes récurrents et nouveaux défis, une douzaine de volontaires apportent chaque année leur contribution.
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