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LE POINT SUR LA SITUATION POLITIQUE ET SOCIALE du 1er septembre au 31 octobre 2000


Le fait dominant la vie des Cambodgiens durant les deux derniers mois est sans conteste les inondations. On assiste, cette année, au Cambodge, et dans la péninsule indochinoise, à une double inondation :








LE POINT SUR LA SITUATION SOCIALE ET POLITIQUE du 1er juillet au 31 août 1999


La formation du tribunal “à caractère international” pour juger les responsables khmers rouges et la volonté des pays donateurs de vérifier l’usage des fonds alloués au Cambodge sont les deux principaux titres à souligner dans l’activité des mois de juillet et d’août. Longtemps enfermés dans un nationalisme étroit, les dirigeants de Phnom Penh semblent vouloir tout faire pour empêcher le jugement de leurs anciens camarades qui les ont rejoints et jeter ainsi un voile pudique sur un passé dont ils sont tous plus ou moins partie prenante. Seul le jugement de Ta Mok et de Ta Dutch, leur suffirait. La communauté internationale, ou du moins l’ensemble des pays donateurs, commencent à se montrer plus exigeante concernant les aides accordées au pays. Longtemps les responsables cambodgiens ont cru pouvoir jouir de la compassion internationale pour leur pays martyr. Au risque de refaire sans cesse le même constat, l’oligarchie politico-militaire ponctionne toutes les richesses du pays, détourne le plus clair des aides internationales, exploite un peuple ignorant et pauvre.




LE POINT SUR LA SITUATION SOCIALE ET POLITIQUE du 1er juillet au 1er septembre 1998


“Miracle sur le Mékong c’est ainsi qu’un sénateur américain qualifiait, un peu rapidement, semble-t-il, les élections du 26 juillet. Contrairement aux pronostics, la campagne électorale ainsi que les élections tant attendues se sont passées dans l’ordre et le calme, sans fraudes majeures. C’est incontestablement une réalisation, même si elle est imparfaite, à mettre au crédit du gouvernement cambodgien. Le décompte des voix, par contre, a donné lieu à une série d’incidents compréhensibles. Avec plus de 55 % des voix, l’opposition n’a que 45 % des sièges de députés. L’opposition a de réelles raisons d’exprimer son mécontentement, qui semble toutefois exagéré. Les partis politiques cambodgiens font le dur apprentissage de la démocratie.


LE POINT SUR LA SITUATION SOCIALE ET POLITIQUE du 1er septembre au 31 octobre 1998


La campagne électorale et les élections du 26 juillet dernier se sont globalement bien passées, même si on a pu relever un très grand nombre de petites fraudes et irrégularités, qui aux yeux d’observateurs sérieux, n’ont pas eu d’incidences décisives sur le choix des députés. La Communauté internationale, y compris les Etats-Unis, les associations de défense des droits de l’homme, ont initialement salué ces élections comme “justes et équitables”.