Il déclara également que Rome n’attendait que l’approbation des Nations Unies sur la question de l’intégration pour autoriser l’administrateur apostolique de Dili à devenir membre à part entière de la Conférence épiscopale d’Indonésie. Jusqu’à présent, il n’y participe qu’à titre d’observateur.
M. Carrascalao, tout en déplorant l’attitude des prêtres locaux, exprima son désir d’en faire venir davantage d’autres régions de l’Indonésie. Et de souligner qu’il ne faisait que reprendre là les propos de l’évêque, lequel aurait bien voulu, rapporta-t-il, faire venir aussi quelques missionnaires étrangers. Mais cette solution-là, conclut-il, n’avait aucune chance d’être acceptée en haut lieu. Force sera donc d’attendre encore quelques années jusqu’à ce qu’accèdent au sacerdoce “nos jeunes gens qui actuellement s’y préparent”.