Les organisations pour la défense des droits de l’homme, regroupés dans un comité dont fait partie la commission « Justice et paix », partagent l’inquiétude de plusieurs autres organisations non gouvernementales en ce qui concerne le trafic de femmes et d’enfants.
Ce sont en effet de 200 à 400 jeunes femmes et enfants qui, chaque mois, sont transportés, de l’Inde et du Bangladesh vers d’autres pays de la région aux fins de prostitution.
Les trafiquants utilisent divers moyens pour attirer leurs futures victimes: ils leur promettent du travail dans des usines de couture ou font miroiter la perspective de salaires élevés. Certains se marient avec elles pour ensuite les abandonner à leur sort.