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Travailleurs “résidents illégaux”

18 mars 2010
Ces travailleurs qui affluent à Taiwan de toute l’Asie du Sud et du Sud-est – surtout des Philippines, de Malaisie, de Thaïlande et d’Indonésie – ne sont pas mécontents de leur sort, assure-t-on du côté des Eglises, car leurs salaires sont beaucoup plus élevés que ce qu’ils pourraient gagner dans leurs pays respectifs. Pourtant, leur situation ne paraît pas tellement enviable (10).


Légion de Marie


La Légion de Marie taiwanaise doit, le 28 septembre, fêter ses 40 ans d’existence.


Les missionnaires taiwanais pourront peut-être aller en Chine


Le ministère de l’Intérieur a annoncé, le 29 octobre, que toutes les organisations religieuses officiellement reconnues pourraient solliciter l’autorisation d’aller en Chine continentale pour s’y engager dans des activités religieuses.


Un colloque souligne la nécessité de prudence en matière d’inculturation du fait de la diversité culturelle des missionnaires


En septembre dernier, à Oulan-Bator, lors d’un colloque sur la liturgie et l’inculturation organisé au Centre d’études et de recherches Antoine Mostaert, 55 missionnaires étrangers aujourd’hui actifs en Mongolie, ont souligné la nécessité de prudence en matière d’inculturation du fait de leur diversité culturelle.


Après quinze ans de présence, l’Eglise catholique se fixe de nouveaux objectifs : former un clergé local et redonner la priorité au spirituel


Après quinze ans de présence en Mongolie, la petite Eglise catholique du pays de Gengis Khan se fixe de nouveaux objectifs : former un clergé local et redonner la priorité au spirituel. Cet immense pays continental de plus de 1,5 million de km², de tradition bouddhiste, où la grande majorité du territoire se situe à plus de 1 000 mètres d’altitude, compte moins de trois millions d’habitants.


Un protestant cherche à élargir l’offre d’ouvrages chrétiens en langue mongole


Face à la difficulté à se procurer des livres chrétiens en langue mongole, un Mongol converti au protestantisme en 1997 s’est lancé dans la distribution ainsi que l’édition d’ouvrages chrétiens en mongol. Fondée en mai 2007, son entreprise, Channel of Blessing, a créé un site Internet (www.blessing.mn) en décembre 2007 ; rédigé en mongol, en anglais et en coréen – car nombre de missionnaires dans le pays sont anglophones ou viennent de Corée du Sud –, le catalogue compte une centaine de titres.


La communauté catholique de Zuun Mod ne désespère pas d’obtenir un jour l’autorisation de construire son église


« Cela prendra peut-être du temps, il y aura probablement des frustrations, mais nous sommes certains que le Bon Dieu finira par nous accorder une église », a déclaré Joseph (1), porte-parole de la petite communauté catholique de Zuun Mod, chef-lieu de la province de Tov, à 60 km de la capitale mongole. Depuis quatre ans, il tente de convaincre la municipalité de donner son autorisation à la construction d’une église pour les catholiques de Zuun Mod, mais la dernière entrevue prévue avec les conseillers municipaux a tout simplement été reportée.


A Oulan-Bator, les « catholiques sous la tente » se préparent à un nouvel hiver


A Oulan-Bator qui compte aujourd’hui trois paroisses (1), la petite communauté catholique doit faire face aux difficultés logistiques d’un très jeune pays de mission. Contrairement aux deux autres paroisses de la capitale de la Mongolie, celle du Bon Pasteur n’a toujours pas de bâtiment en dur. Sous les tentes assemblées à la manière mongole, le P. Ronald Magbanua et ses fidèles savent qu’il va falloir se préparer à un nouvel hiver dont la rigueur gèlera le vin de messe et fera du simple fait d’assister aux offices, un véritable acte de courage.


TRANSITIONS MONGOLES : DE LA SUZERAINETE MANDCHOUE AU COMMUNISME SOVIETIQUE ET A L’ECONOMIE DE MARCHE


Rappelons tout d’abord les principaux traits de la société mongole au cours des siècles passés. C’est à l’origine, et jusqu’à récemment, une société d’éleveurs nomades, largement convertie au bouddhisme à partir de la fin du XVIe siècle par la volonté de ses élites. Soucieux de s’appuyer sur une institution puissante, centralisée et valorisée pour retrouver l’unité et la grandeur mongoles perdues, leurs princes adoptèrent le bouddhisme tibétain ou lamaïsme et l’imposèrent à leurs sujets chamanistes. Le bouddhisme devint si prépondérant dans la société que près de la moitié de la population masculine au début du XXe siècle appartenait au clergé bouddhique.


L’EGLISE CATHOLIQUE EN MONGOLIE : UN SERVICE MISSIONNAIRE POUR UN PAYS NEUF


Les catholiques mongols fêtent “le Bon Pasteur”